samedi 27 juillet 2013

Rêve du 27 Juillet 2103

Des murs de pierre et des grands escaliers un peu partout. Je sais que je suis dans le métro mais il n'y a aucune affiches ou pubs.

 Au début je marche, croisant quelques personnes la tête baissé. Je me met à aller de plus en plus vite, l'ambiance est étrange il faut que je sorte d'ici. Les couloirs se font de plus en plus lumineux, j'arrive enfin au dernier escalier que je prend très vite en glissant sur les marches. Je manque de tomber à l'arrivé et je remarque que je viens de détruire un bout de ma chaussure.
Un homme me croise du regard et continue son chemin. Je ramasse mon bout de chaussure et regarde la pièce autour de moi : c'est très salle, il y a des chaussettes sur le sol, des cartons vides, et dans un de ces cartons vide pleins de lettre écrite avec des dessins de chaussures. Il s'agit de lettre de plainte des utilisateurs du métro, apparemment je ne suis pas le seul à avoir eu un soucis dans cet escalier. J'ouvre la première lettre, et je vois une écriture de mamie qui raconte qu'elle à cassé son talon et que du coup elle ne prendra plus le métro pour ne pas donner son argent a des incompétents pareil. Elle se déplacera maintenant à pied.

 Je continue mon chemin, toujours à l'intérieur d'un grand bâtiment. Je rentre dans une sorte de passage assez bas de plafond, avec un tapis rouge au sol et des sortes de stand de troc ou une brocante sur les côtés. Je croise un groupe de 4-5 gothiques avec sur chaque doigt une griffe gothique avec au bout une lame. Je croise leur regard et continue d'avancer.
Je me retourne après quelques mètre et je les vois me suivre. J'accélère le pas, je commence même à courir et ils me prennent en chasse. J'atterris dans un espèce de gigantesque magasins. Je m'arrête dans l'allée centrale et les vois commencer à m'encercler. Je sors deux petites dagues de lancer, je tourne la tête dans tous les sens pour savoir dans quel sens m'enfuir.
Une musique retenti dans le magasin, c'est du Radiohead, ma vue passe alors à la troisième personne, et je comprend que tout ceci est en fait un clip de musique. Je vois l'ancien moi prendre la direction du rayon bricolage. Après une glissade sur le carrelage blanc je prend une grande tringle de rideau et défonce la tête d'un poursuivant : ce ne sont plus des gothiques, mais des espèce de gars en costard avec lunettes de soleil genre Matrix. L'homme se fait dégommer la mâchoire et tombe dans son sang.

 D'autres personne arrivent à ma rescousse. Il y a pas mal de gros, avec une chemise blanche et un gilet rouge. Je continue ma route vers les frigos distributeurs de boissons, j'en pousse, assez facilement d'ailleurs, qui écrase un autre poursuivant. Un de ces camarades essaye de l'aider à se relever mais une personne du magasin fait écrouler le rayon entier de lessive qui écrase les deux hommes. La vue repasse à la première personne, la musique s'accélère, et je ressens un bien être fou : je suis dans un magasin et je peux absolument tout détruire ou casser pour essayer de tuer les hommes qui me poursuivent, et en plus on ne m'en voudra absolument pas ! Je me dirige vers les fruits et légumes, je prend une pastèque dans chaque main et les lance avec puissance dans leur visage. La pastèque explose instantanément, répandant du jus et du sang à 360°. C'est encore plus drôle que dans Kill Bill. Je cherche partout les objets les plus fun à exploser sur le crane de mes ennemis, mais soudain l'eau commence à monter dans tous le magasin. En à peine 10s le magasin est submergé.

 La vue s'éloigne, la musique est fini, et je me retrouve devant un téléviseur avec Anael S. et Thibault M.

 "Autant je suis pas fan de la musique, autant ce clip il déchire quand même". Je ne sais pas qui prononce cette phrase, mais je n'ai pas le temps de réfléchir car je suis absorbé par la pub d'après, pour une nouvelle voiture de sport super belle, performante et vraiment pas chère en provenance des états-unis. Je reconnais cette voiture sans vraiment savoir d'où, c'est Thibault M. qui me met la puce à l'oreille :

 "Hey mais c'est une voiture dans GTA Vice City ! Je m'en souviens, c'est la première voiture avec laquelle j'ai explosé un pare-choc".

samedi 4 juin 2011

Nuit du 3 au 4 Juin 2011

Je suis à une fête dehors avec pleins de gens. Nous sommes autour d’un feu on picole, normal quoi. Une fille viens alors à ma rencontre, une blonde carrément jolie, et se présente à moi comme la sœur de Louise B, une fille rencontrée en vacances il y a de cela 3 ans.
Elle dit me reconnaître, qu’elle avait bien déliré de toutes mes conneries, alors que de mon côté j’étais certain de ne l’avoir jamais vu, mais l’alcool ayant coulé à flots pendant ces vacances je lui laissais le bénéfice du doute.

On commence alors à discuter, boire, enfin bref plus trop de souvenir de cette partie. Apparemment on bouge un peu car un moment je me retrouve dans un grand salon luxueux, déco en mode château de Versailles, avec pleins de mec qui ont l’air de péter vachement plus haut que leur cul. Au bout du salon il y a une porte à double battant ouverte avec deux gorilles de chaque côté.
Sans savoir comment, je sais que la fille est à l’intérieur, alors j’essaye de rentrer. En approchant de la porte je vois qu’à l’intérieur de l’autre pièce se déroule un défilé de mode, mais en voulant passer je me fais arrêter par les gardes du corps parce que je n’avais pas de cravate. On commence alors à s’embrouiller, le tout en anglais. A ce moment deux mecs sortent du défilé sans cravates, alors le directeur du défilé viens me voir et me dis que c’est bon je peux y aller mais pas plus de deux minutes car je fais tâche avec mon t-shirt de skate dégueux et mes Nike.

Je rentre dans la pièce qui est en fait une grande salle sombre avec une estrade vide, et des centaines de chaises de jardins dépliées. Je vois mon père, un prof de mon école et pleins d’enfants avec eux en train de jouer du violon et de la flute.
Je pars m’asseoir un peu plus loin pour regarder et écouter, et je retrouve la fille et un pote de l’école, Renaud H, qui eux aussi sont accompagnés de pleins de gosses.

La fille se fait un peu chier, elle me demande alors si je veux aller chez elle. Roule ma poule.

Aucun souvenir du trajet, je me souviens juste de la galère pour garer la Mégane break dans son garage. D’ailleurs son garage est juste hallucinant. Il est sur 3 niveaux, avec des escaliers cachés, des passages secrets entre chaque niveau. Tout au fond, au niveau le plus profond, il y a de grand cartons et de grandes cages posées. Je m’approche de la première cage et aperçois pleins de lapins et de chinchillas, elle me dit d’en prendre un si je veux, mais bon, la flemme de m’en occuper.

Dans le carton d’à côté, un petit garçon jouait avec un tigre. Il m’explique alors qu’il dresse le tigre à dormir sur le canapé grâce à une peluche : il n’a qu’à aller poser la peluche sur le dos sur le canapé pour que le tigre fasse pareil, mais malheureusement là ça ne marchais pas car ils avaient plus de caramel.

vendredi 18 mars 2011

Nuit de la Saint Patrick...

Alors ça commence un peu vaguement sur un canapé. Je suis avec mon frère et d'autres personnes que je sais que je connais mais je m'en rappel plus trop.
On mate des films sur mon pc portable, tranquille, et je crois aussi qu'il y a des crêpes à manger, mais on avait le droit de manger uniquement des crêpes salées, genre avec de la charcut et tout, mais surtout pas de nutella ou de confiture.

Bon là ça devient compliqué faut suivre. A un moment, le film sur le pc s'arrête, un putain de moment de suspens en plus. On se regarde on capte pas trop, et là, de derrière le frigo - placé à gauche du canapé, à 3-4m pas plus - sors une sorte de boite aux lettres avec deux roues de vélo. Attention c'est pas la boite aux lettres toute pourrie, c'est la truc américaine, 1 bon mètre et demi et haut, de forme carrée avec juste le haut en demi cercle (j'espère que vous me suivez toujours).
Les roues de vélo était placées de part et d'autre sous la boite aux lettres, afin qu'elle puisse rouler.

On est tous sur le coup de cette apparition soudaine. La "chose" reste planté au milieu du salon puis rien ne se passe. Au bout d'un certain temps ça bouge à l'intérieur. D'un coup quelqu'un sort par le dessous de la boite aux lettres. Ce quelqu'un c'est Adrien B et il est mort de rire en voyant nos têtes. Sa blague a bien fonctionné.


FAILLE


Je suis dans une sorte de parc, mais il n'y a pas grand monde. Avec Fabien G nous sommes en train de manger un steak, le seul petit truc qui change c'est qu'on le mange directement sur la vache.

C'est encore chaud à expliquer. En fait c'était comme un gros steak mais en forme de vache. C'était super bon et tendre. Le problème c'est qu'à un moment je coupe un bout de muscle avec mon petit couteau et la carcasse s'ouvre totalement en 2.
Tout d'un coup une odeur nauséabonde et des mouches sortent de la vache qu'on était en train de manger. A l'intérieur il y avait une autre carcasse de vache mais tout pourrie cette fois-ci. Ça dégoûte Fabien qui vomi directement tout ce qu'il venait de manger. Moi je regarde juste mon assiette en me disant : "tant mieux j'ai pu faim".


FAILLE


Je me ballade tranquillement dans une ville étrange, une sorte de mélange de toute les villes ou j'ai déjà mis les pieds. Il y a des rues d'un style très espagnol, avec des petites rues étroites, des couleurs chaudes. Je me rend ensuite dans le même parc que le rêve d'avant sauf que cette fois-ci je suis tout seul.
Je commence à essayer de jongler avec des médiators de guitare, mais il y a un peu de vent donc c'est vraiment pas évident. Là il y a un mec qui viens vers moi, on commence à parler anglais et il me dit que c'est un putain de jongleur trop fort. Je lui file mes médiators mais il est tout aussi pourri que moi.
Voyant que je me foutait un peu de lui il décide de sortir 7 balles et commence à m'en mettre plein la vue.

Il fini de faire son kéké, me donne les balles et s'en va. Je continue donc ma ballade dans la ville "mix", je passe sur une place pavée ressemblant à celle de Charleville mais comme si on l'avait placé autre part et qu'il avait fallu s'adapter au terrain.

La ballade et le rêve se finissent dans des rues piétonne ressemblant à celle de Metz mais plus pentues, alors que je poursuis un mec qui est sensé travailler avec moi pour lui donner une carte kanban.

samedi 5 février 2011

Nuit du 5 février

Je suis en voiture avec mes parents sur l'autoroute. On passe à côté d'un énorme carrefour et je les fais chier pour aller acheter quelque chose à manger parce que j'ai faim.

On rentre donc dans un magasin gigantesque, le plus grand que j'ai jamais vu. Je prend une boite de Pringles (alors que j'aime pas trop) et on va à la caisse. Il y a genre 200 caisses en lignes, et seulement 4 d'ouvertes. Heureusement il y a a peine 100 personnes dans le magasin, mais bon ça fait quand même une grande file d'attente pour une vieille boite de Pringles, surtout que les vieux de devant avec leurs caddies pleins nous laissent pas passer.

Quand la vieille de devant nous arrive enfin à la caisse, je remarque que c'est en fait mon tuteur de stage de caissier. A gauche de la caisse viens d'apparaitre une sorte de mini boulangerie avec pleins de gâteaux qui ont l'air super bon. La vieille viens de se transformer en vieux et il commence à râler parce que les prix sont trop élevés. Mon tuteur lui dis qu'il peut prendre ceux de la veille tout au dessus qu'ils sont moins cher.

Le ton monte, tout le monde s'en mêle.

Tout d'un coup nous sommes sur une étendue désertique, avec du sable sur le sol. Il reste la caisse, le présentoir à gâteaux, et mon tuteur s'adressant à une foule impressionnante. Il fait un discours bien ficelé donc le maitre mot est que peut importe combien coûte le gâteau ce qui compte ce le plaisir procuré au moment où on le mange.

Je réalise alors que j'ai toujours pas payé mon putain de paquet de Pringles, alors je dérange mon tuteur pendant son discours pour payer le truc par carte. Je rentre dans sa voiture pendant qu'il fini de parler. Pour patienter je regarde le ticket de carte bleu et je remarque que j'en ai pour 20 euros, il y a pleins d'achats que j'ai pas fait. Bon tant pis on verra ça plus tard.

Il monte finalement dans la voiture, puis j'oublie de lui parler du ticket de caisse. On roule sur l'autoroute quand soudain on passe à côté d'une énorme usine qui fabriquait des vaisseaux genre X-Wing. Je suis trop fou ! Je veux descendre, aller visiter l'usine et piloter si possible, mais je me réveille !

lundi 10 janvier 2011

Sieste du 10 Janvier 2011

Tout commence dans une vieille voiture typé américaine. Je suis côté passager et la conductrice est Tiphaine M. Nous sommes sur une magnifique en serpentin entre les Fjord et les grands sapins. Elle me raconte que ces 5 mois en Norvège étaient bien mais pas plus que ça au final, et qu'elle s'était ennuyée prêt de son lac.

Je lui raconte quant à moi mon second voyage au Canada. En fait je le vis en même temps que je le raconte. J'ai retrouvé certaines personnes, certains lieux, visité de nouveau trucs, enfin c'était vraiment sympa et je venais de revenir là, j'étais un peu deg.


FAILLE


Je suis dans une grande ville typé Française, dans une rue étroite légèrement descendante avec des maisons mitoyennes à gauche et un muret surmonté de tuile à droite. Le truc étrange c'est que je tiens une sorte de Phacochère pour l'aider à marcher sur le mur, sauf que ses jambes sont en fait des petites défenses d'éléphants. J'arrive pas à comprendre comment il fait, surtout qu'avec lui il à un enfant phacochère qui a des jambes normales.

Je suis avec une sorte d'inspecteur. Je remarque qu'il y a pas mal de cadavres d'hommes le long de la rue. A chaque fois l'inspecteur regarde le cadavre, regarde aux alentours, et trouve tout de suite la raisons de la mort.
Par exemple un homme avait un gros trou à la tête, l'inspecteur se dirige vers un pot de fleur, le soulève et trouve un bout de carrelage cassé. La taille correspond, il y a du sang dessus, c'est l'arme du crime !


FAILLE


Dans cette dernière partie je me souviens que je suis à New York. Tout commence dans une très grande maison. Nous sommes genre au deuxième étage de la maison avec pleins de monde pour préparer une grosse soirée d'ici quelques jours.

Je décide de me balader un peu dans les rues. J'arrive à un bar, une fille sort du bâtiment et se dirige vers moi. Je la connais, du moins dans mon rêve. Elle s'approche, me dit une phrase et puis elle m'embrasse. C'est plutôt un long baiser je suis étonné, en plus elle est pas mal la bougre.

Après cette échange salivaire je lui demande si elle viens à la soirée à la maison ce soir. Elle me dit qu'elle ne sais pas encore, ça dépend si elle à un concert ou quoi. Sur ce elle repart en courant dans le bar.
Je continue ma route et je croise le bébé phacochère du rêve d'avant, sauf que maintenant il a aussi les jambes en défense d'éléphant ! Je le vois gambader quand une petite fille toute mimi arrive vers moi. Elle me prend par la main alors je l'amène au parc d'attraction juste en haut de la côte.

Il se met alors à pleuvoir, je lâche donc la main de la fille et me casse vite fait m'abriter. Je me retrouve dans une rue non loin de la grande maison et je rentre dans un bar un peu souterrain. C'est en fait une sorte de boite de nuit 24H/24. J'y retrouve Florian Z. et je lui raconte l'épisode avec la fille. Ensuite on bois un petit coup et je lui dit qu'il faut que j'aille chercher mes clopes dans la grande maison.

On se retrouve dehors, le soleil est revenu. J'appelle un taxi jaune, sauf qu'il me laisse en fait sa place derrière le volant. On roule tranquillement vers la maison, on rentre dans l'allée de garage en croisant un mec super louche dans une Cadillac décapotable blanche. Avec Flo on se dit que ça doit magouiller sec la dedans, mais c'est pas notre problème.

Je rentre tout seul dans la maison. Déjà j'arrive pas à retrouver l'escalier pour accéder au premier étage. Je vois donc la femme dans la cuisine, alors je lui demande en anglais ou est mon couchage. Elle m'indique très gentiment la direction.
Ensuite en bas de l'escalier je retrouve le mari qui joue avec le chien. J'essaye de passer à côté d'eux mais le chien commence à pisser partout, j'essaye d'esquiver la flaque, mais rien à faire, j'ai posé la chaussette dedans et la sensation me dégoute.


Heureusement, ou pas, mon coloc sonne à l'interphone à ce moment, c'est donc la fin du rêve. J'ai l'impression que les rêves deviennent de plus en plus réaliste, j'arrive de mieux en mieux à en comprendre les détails et je ressens mieux les sensations. J'espère continuer sur la bonne voie :)

dimanche 9 janvier 2011

Nuits du 7 et 8 Janvier 2011

Je réserve un hôtel avec mon cousin Mathias M. parce que nous avons une dissertation de Français le lendemain.
L'hôtel était pas en bon état, mais il était super vaste ! C'est dur à décrire mais il y avait une sensation de bien être. Ce n'était pas un hôtel classique genre un formule 1, mais plutôt une énorme maison assez ancienne avec pleins de pièces. Par exemple des pièces avec des vieux lits superposés en fer avec des draps tout froissés, des salons avec de gigantesques bibliothèques et des fauteuils en cuir, ou encore des grandes chambres individuelles avec chacune un style différent.

Il n'y avait strictement personne dans l'hôtel, pas d'accueil, pas de personnel, pas de client, rien, c'était gratuit en fait, une sorte de squat. Nous avons un choc lors de la première soirée lorsque nous avons vu rentrer un grand chat blanc dans la chambre avec lits superposés. Le chat a sauté habillement tout en haut du lit pour se poser à côté de moi. Il à commencé à parler pour me souhaité la bienvenue ; c'était en fait lui le maitre des lieux.

Nous avons découvert par la suite que l'hôtel en lui même était totalement enterré sous le sol, et tout au dessus il y avait une jolie maison dans un style plus moderne. Le lendemain matin nous y sommes donc aller pour prendre un petit dej dans le jardin de la maison. Elle était paumée au milieu des champs, mais sur la table de jardin il y avait des Leffe Triple ouvertes mais pas bues, des gens devaient être passé dans la nuit.





Dans l'autre rêve, j'étais dans un supermarché avec pleins de potes. Il y avait une sorte de stand dans le magasin, je pourrai pas expliquer comment ça marchait car c'était un nouveau système de paiement assez compliqué. J'étais avec Fabien G. et je lui fit connaitre mon plan. En gros il devait me filer ses clés, je payais avec mais je donnais un faux nom, on pourrait donc prendre la marchandise et se casser sans rien payer. Enfin, c'était un plan du genre...

Je choisi donc d'acheter quelques conneries, du genre un frigo et un sèche linge je crois, et je paye le mec avec la clé de Fabien, fallait juste l'insérer dans une sorte de lecteur de carte bancaire. Je paye, je rempli un petit formulaire et je me casse.

Après je me souviens plus trop ce qu'il se passé, j'entends dans les hauts parleur du magasin que tout le monde cherche Fabien. Putain je me suis fait capté. Il me cherche en fait moi. Je commence à courir vers la sortie mais un gars me chope et me plaque contre une caisse. Le vrai Fabien arrive à ce moment là, mais totalement bourré, genre il avait bu comme un sac dans le magasin. Il fait des grands moulinets avec les bras et veux frapper les gars qui me tiennent. Je lui dis de se calmer, et au final on se fait virer du magasin, et sans le frigo que j'avais en fait oublié de prendre au stand au tout début. Heureusement que j'avais volé des lames de rasoirs !

mercredi 3 novembre 2010

Sieste du 3 Novembre 2010

Je reçois un SMS de Dimitri V. m'indiquant une fête d'Halloween de fou en Belgique. Le SMS est en fait comme une courte vidéo. Je vois défiler une carte, avec en voix off la voix de Dimitri. Il dit qu'il à un gite sur la plus haute colline de Belgique, la où se rejoint la plus grande forêt européenne et un volcan, se qui fait que la foret brule doucement, mais en permanence, ça à l'air super fun.

Je me rend donc là bas en moto. Le soucis c'est qu'il pleut super fort. J'arrive sur place assez rapidement, heureusement que je porte d'épaisses bottes car le terrain est plein de gadoue. Je me rend alors compte qu'Halloween est passé depuis presque 5 jours. Je retrouve les restes d'un campement sur une sorte de clairière boueuse prêt de la route, surement celui de mes amis. Je suis un peu dégouté, mais bon, maintenant il fait nuit, je suis plein de boue, je ne peux plus repartir.

Je monte donc une pente glissante à pied nue pour rejoindre une sorte de cabane en bois. Je ressens parfaitement mes pieds s'enfoncer dans la boue et je n'aime pas trop la sensation.

J'arrive finalement dans la cabane, et je découvre une salle de bain toute propre. Le sol est un plancher, et il y a 4 toilettes dans la même pièce ainsi que deux douches. C'est assez étrange car l'eau des douches coule en permanence, mais cela donne une atmosphère chaleureuse à la pièce.

Je commence à retirer mes habits trempés, puis j'entreprends de me laver les jambes. A ce moment, la porte arrière s'ouvre et un homme rentre. Il me dit être serveur dans le restaurant d'à côté et qu'il veut juste couler un bronze tranquille. Il se jette alors violemment sur moi. Je me baisse et je le vois percuter avec surprise un autre qui venait d'entrer par la même porte que moi. Cet homme avait une machette de boucher. Je prend la machette.

Et j'ai bien fait, deux autres hommes rentrent, ainsi qu'une femme. La femme veux me frapper la tête, je tend la machette en l'air pour me protéger et sa main se tranche dessus toute seule. C'est pas sanglant ni rien, on dirait un cartoon.

Il se passe une sorte de méli-mélo étrange et je me retrouve assis à une table dans cette même cabane avec toutes les personnes autour de moi. Ils sont tous découpés d'un peu partout mais vivant. Nous buvons des shooters ensemble. Pendant ce temps un jet de laser tombe aléatoirement du plafond dans la pièce, ça me fait un peu peur.

J'ai l'impression que tous veulent me tuer. Ah, tiens, d'autres personnes autour de la table, des amis, je n'arrive plus à me souvenirs qui, je me souviens qu'il y avait mon frère par contre.

A un moment je bois un shooter avec les découpés et mes potes, quand soudain je vois tout le monde avec un rictus. Merde, le shooter était empoisonné. J'y vais au bluff. Je leur raconte que j'ai inversé les verres, et donc on ne sais pas qui a devant lui le shooter mortel.

Alors, vu que personne ne veux boire, une musique sort de nul part. Nous nous mettons donc à danser. Mes amis n'arrêtent pas de se passer entre eux une carte de poker. Je ne comprend pas très bien. A la fin de la danse, la carte remonte jusqu'à la fille à qui j'ai coupé la main. La musique s'arrête, un sourire triomphant s'affiche sur son visage.

Elle jette alors la carte par terre et la cabane explose. Je me retrouve alors allongé dans la boue avec les gens que je connais. Tout les "morts" ont disparus : elle nous a sauvé.